Au début il y a le bois habité dans lequel s’enfoncent plusieurs sentes qui serpentent sous le couvert. On y trouve ici un salon de verdure rudimentaire, là un tas de bûches pour l’hiver.
Plus loin, près du ruisseau, on observe les traces du passage d’animaux sauvages. On est loin de tout. Après il y a la nouvelle maison. Elle est juste posée sur la clairière, devant
le bois. Elle affleure le terrain en légère déclivité. On emprunte
le long couloir de planches de pin. Un pli contourne le bassin
de nage en béton, seul vestige de la précédente maison. On accéde à la grande pièce de séjour vitrée et à l’usage retrouvéde la contemplation du bois et des saisons.