La cour de récréation de l’école maternelle doit être refaite. Plutôt que sur son sol, l’attention est portée sur sa périphérie par la construction d’une «limite-usages» en matériau bois.
La première limite, celle de la rue, se transforme de parvis-clôture-portail en préau-porche puis volume-cage d’escalier et ascenseur. La deuxième limite, celle des classes, est longée par un portique couvert de panneaux translucides qui forme un préau-ombrelle et protège du soleil du Sud. La troisième limite, celle côté bois, est un large banc-clôture ajouré dont la ligne brisée se faufile entre les chênes et les acacias ainsi préservés et situés désormais dans la cour.